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La marque de la bête

Charles Olivier de Penne_Wikimedia Commons
jeu. 03.04.25 / 19h00 - 20h00 / Genève — Uni Dufour , Salle U260

«Yvan m’aimait autant en être humain qu’en truie. Il disait que c’était formidable d’avoir deux modes d’être, deux femelles pour le prix d’une en quelque sorte, qu’est-ce qu’on rigolait.» Truismes, P.O.L., 1996
Dans l’univers fictionnel de Marie Darrieussecq, qu’en est-il de la manière d’exprimer la vie animale? Y a-t-il hybridation, porosité ou rupture entre animaux et êtres humains? Comment prendre en charge l’énonciation et la sensibilité animales? Peut-on distinguer le sauvage du domestique? Que peut la littérature à propos de la condition animale?

En partenariat avec la Société de Lecture

Intervenant·es : Marie Darrieussecq
Modération : Marie Fleury Wullschleger